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La NBA suspend les contrôles anti-drogue
La NBA suspend les contrôles anti-drogue
La morphine figure sur la liste des produits interdits de l’agence mondiale antidopage mais uniquement en compétition. Extraite d’un arbuste de bord de mer, l’Ephedra, elle potentialise l’action de l’adrénaline. Proche chimiquement des amphétamines et de l’adrénaline, elle est produite industriellement par synthèse.
- L’androstènedione (aussi appelée 4-androstènedione et 17-cétoestostérone) est une hormone stéroïdienne produite par les glandes surrénales et les gonades.
- Elle figure dans la listedes produits interdits en tant que stimulant.
- Remède homéopathique à base de chélidoine, plante aussi connue sous le nom d’herbe aux verrues.
- Elle a un effet anabolisant, permettant l’accroissement de la masse musculaire.
- Plusieurs coureurs, dont Eddy Merckx, furent contrôlés positif à ce produit en 1977 quand il est devenu détectable aux contrôles.
Se présentant sous forme lyophilisée, il devrait être commercialisé fin 2019. Il a pour but d’améliorer les transplantations en améliorant la conservation des greffons. Aussi connue sous le nom de gonadotrophine chorionique humaine, l’hCG est une hormone sécrétée par le chorion et le placenta au début de la grossesse. De ce fait, elle sert pour le diagnostic et la surveillance de l’évolutivité précoce de la grossesse.
La préparation à la compétition en Men’s Physique
Diurétique antihypertenseur, indiqué dans l’hypertension artérielle et les oedèmes d’origine cardiaque, rénale ou hépatique. Il est notamment commercialisé par le laboratoire Eli Lilly. Commercialisé en France depuis novembre 1998, le Viagra, développé par la firme pharmaceutique Pfizer est indiqué dans le traitement de l’impuissance sexuelle. L’AMA pourrait l’inclure sur la liste des produits interdits à partir de 2010 en raison de son action vasodilatatrice.
Anti-inflammatoire stéroïdien appartenant à la famille des corticoïdes de synthèse. Il a une action immédiate et ses effets se prolongent pendant environ 3 semaines. Il est utilisé dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière. En traitement local (irrigation ou infiltrations) il est prescrit pour soigner les poussées douloureuses d’arthrose, la maladie de Dupuytren (syndrome du canal carpien), certaines sinusites et la cicatrice chéloïde.
Repos et récupération : comment les optimiser pour améliorer vos performances
Stéroïde anabolisant, commercialisé sous les noms de Winstrol, Strombaject ou Stanabol, il a été mis sous les feux de l’actualité par Ben Johnson lors de son contrôle positif aux Jeux olympiques de Séoul 1988. Il n’est plus commercialisé en France depuis 1985 mais reste disponible dans plusieurs pays européens, dont l’Espagne. La sibutramine est un coupe-faim utilisé en association à un programme d’amaigrissement dans le traitement de l’obésité et du surpoids.
En 2017, un jeune italien de 14 ans est également contrôlé positif à ce produit. Acides aminés contre l’hyperammoniémie due à l’effort ayant aussi l’effet de stimuler la production d’hormone de croissance (hGH). On les retrouve, par exemple, dans l’armoire à pharmacie des Telekom en 1998. Cette substance est autorisée uniquement pour traiter les diabètes insulino-dépendants.
Programme de surveillance relatif à certaines substances
D’un point de vue plus sérieux, les stimulants constituent la classe A des produits interdits. Le snus, qu’on appelait autrefois tabac à chiquer, est une poudre de tabac humide consommé principalement dans les pays nordiques mais aussi en Inde ou Afrique du Nord. La méthode de consommation habituelle consiste à placer le produit entre la gencive et la lèvre supérieure. En 2010, la SMR concernait 1214 coureurs dont 204 professionnales (français et étrangers appartenant à des équipes françaises).
Comment limiter le risque d’effets indésirables ?
Il fit une entrée fracassante sur la scène du dopage lorsqu’il fut découvert en 1988 dans les urines de Pedro Delgado. Celui-ci remporta malgré tout le Tour de France grâce à une ambiguïté allsportfundraising des règlements du CIO (qui ne l’interdisaient pas) et de l’UCI (qui l’interdisaient). L’analyse de phnaères est reconnue dans le domaine judiciaire mais pas dans la lutte antidopage.
Le dopage génétique et cellulaire :
L’adrénaline fait partie de la classe des stimulants et fut à ce titre interdite dès les premières lois antidopage. Depuis 2002, les préparations à usage local sont autorisée. L’adrénaline ne figure pas explicitement dans la liste des produits interdits par l’AMA. Si les stéroïdes anabolisants sont interdits en France et dans de nombreux pays, c’est parce qu’ils sont très risqués pour la santé.